ALVIN POWELL
Alvin Powell est un ancien joueur de ligne offensive de la Ligue Nationale de Football (National Football League – NFL) pour les Dolphins de Miami et les Seahawks de Seattle, un ancien garde du corps des stars (Britney Spears, Céline Dion, Justin Timberlake, Madonna…), et a également participé à de nombreux longs métrages. Mesurant 6’5” et pesant 320 livres, il était une figure imposante sur le terrain de football, mais est néanmoins tombé en proie à la maladie de la dépendance. Contre toute attente, Alvin avait réalisé le « rêve américain » et avait tout perdu, et presque sa vie, au profit de la drogue.
Depuis ses débuts modestes à Panama City, en Amérique centrale, Alvin a atteint des sommets professionnels et sociaux inimaginables pour la plupart d’entre nous. Diplômé en éducation spécialisée à l’Université Winston-Salem State et jouant pour les équipes de basketball et de football de cette université, Alvin a toujours compris l’importance de la détermination, de la persévérance et de la motivation.
Ces qualités et ses capacités athlétiques supérieures ont amené Alvin à la NFL. Cependant, malgré son succès professionnel, il n’a pas pu résister à l’attrait de la drogue et son cauchemar de toxicomanie a commencé au cours de sa deuxième année professionnelle. Bientôt, il est devenu «un accro au crack», et a développé une dépendance à l’alcool et à la marijuana. Sa vie a basculé et il a démissionné de la NFL. Durant ses pires moments, comme le dit Alvin, il vivait dans une église et passait son temps à «chercher des offres pour obtenir de l’argent pour acheter de la cocaïne. » Il a déclaré: «J’étais la honte de ma famille et mes amis. Je ne pouvais pas mourir assez vite. Mais Dieu avait un autre plan. »
Après sa guérison, et depuis 2004 par le biais de la Saving Station Foundation, Alvin s’est consacré à la prévention de la toxicomanie chez les jeunes et à aider les personnes en crise qui souffrent actuellement de la maladie de la dépendance.
Alvin vous le dira, les drogues s’en fichent de qui vous êtes. Elles ne font pas de distinction de couleur, de croyance, de race, de taille, d’arrière-plan économique ni même d’âge (un enfant de 10 ans était le plus jeune qu’il a aidé). Les drogues détruisent les vies sans discrimination.

